Autrefois, à la fin des vendanges, par exemple, il était d'usage d'offrir un banquet aux vendangeurs qui, le plus souvent, étaient les voisins.
Puis, grisé par l'excès de nourriture et de bon vin, chacun poussait sa chansonnette.
Ma belle ( ? ) soeur avait, pour cette occasion, préparé un "tour" de chant, avec son accent de pécore indécrottable, elle interpréta "Marjolaine".
Ce qui donna, avec son accent à casser des cailloux:
"Mârjauléneu, j'été sauldât...."
INOUBLIABLE ! 