Je comprends facilement que la rentrée des classes -maternelles- soit un drame pour des enfants à peine sevrés.
Je ne me souviens pas, alors qu'à mon époque il n'existait pas d'école maternelle, que c'eut été un épreuve pour moi; je ,'y allais pas pour me faire des copains mais pour apprendre. Il y avait des crétins qui ne savaient pas lire et encore moins compter, ceux là avaient droit à des bûchettes pour vaincre -souvent en vain- leur ignorance: j'aurais bien profité de ces accessoires, mais la maîtresse estimait, avec juste raison, que je n'en avais pas besoin: j'en étais frustré.