Pendant la guerre, toute l'essence était réservée à l'ennemi; sur le toit des autobus (en Latin "autobi") était installée une curieuse excroissance qui, grâce à du bois, fournissait du gazogène, sorte de carburant peu (très) peu puissant; les passagers étaient souvent obligés à pousser les pesants véhicules dans les côtes.
A la campagne, les paysans étaient moins malheureux, leurs carrioles étant tirées par des bourricots à pétogène. 