Je pousuivis mes études primaires jusqu'à l'entrée en secondaire; il y avait, à l'époque un examen d'entrée en sixième, première classe du secondaire. Il y avait, à l'époque un examen d'entrée en sixième, que je réussis, le lycée, ancien monastère, était divisé en trois parties, nommées collèges, mais qui étaient en fait le lycée. Le proviseur de chaque collège était , pour le premier collège, était un brave homme, puis, ensuite, les proviseurs étaient adaptés aux difficulté des adolescents, celui de la terminale, surnommé "tom pouce" en raison de sa haute taille, était d'une extrème sévérite, pour venir à bout des adolescents turbulents que nous étions.
En terminale, le bac n'était qu'une formalité, pas un bac au rabais qui ne conduisait nulle part; il y avait aussi un terrain de sport que j'évitais soigneusement, préférant le sport intellectuel, ainsi que nombre de mes condisciples.
L'on y apprenait l'allemand, le Grec ancien, le Latin, les sciences naturelles, et bien d'autres disciplines qui étaient cencées à nous faire des têtes blein pleines à défaut de corps d'athlètes.
La mixité n'était pas de mise, maintenant elle est acquise, les élèves préférant jouer à touche pipi, plutôt que d'étudier.
Autre temps, autre moeurs, qui, à nos frais, élèvent des chômeurs, peut-être diplômés, mais chômeurs tout de même. 