Mon père rentrait de sa journée de travail, fatigué; mais il fallait l'attendre pous souper ;ce qui fâchait ma mère est que 'hiver, il mettait son câsse -croûte dans la poche de son manteau (l'hiver); cette déformation la mettait en colère, d'autant qu'il s'habillait sur mesures; une fois, chez son taillleur, il trouva un billet dans sa poche, signe que l'artisan l'avait déja porté -clandestiment- une fois.
Il y avait aussi le rituel du quotidien, qui empruntait le même emplacement (pour l'été, je ne me souviens pas), mais, quand il rentrait, nous l'accueuillions avec joie, force baisers.
Il y avait une restaurant d'uisine, mais lui même et ses collègues allaient manger dans un autre restaurant, dont la cuisine était meilleure;ensuite, ils allaient boire le digestif au "Bar des Alliés".