En ce mois de juillet, à Montréal, il faisait une chaleur torride; de plus, quelle ne fut pas ma surprise que de voir des soldats en armes, en poste un peu partout dans la ville.
Le "parti Québécois", (parti indépendantiste, ramassis de voyous, voulant à tout prix que le Français -leur Français- devienne la langue officielle de la province de Québec) n'avait rien trouvé de mieux que d'enlever et d'assassiner le Ministre du Travail PIERRE LAPORTE.
Le premier Ministre avait donc déclaré "l'état des mesures de guerre" ce qui permettait d'arrêter et de mettre au secret (après un interrogatoire musclé) la plupart des fauteurs de trouble. 