Un voisin compatissant vint me tirer de ce mauvais pas, du à mon ignorance des rigueurs de l'hiver(qui ne faisait que commencer), en effet, la solidarité entre automobilistes n'est pas un vain mot.
Dûment équipé de pneus à neige et à crampons (à cette époque, les crampons étaient encore autorisés dans la province de Québec), je pus reprendre la route, après m'être muni d'une pelle à neige, d'un sac de sel, ce qui s'avéra parfois très utile pour franchir les "bancs de neige (congères en patois Québécois). 