A peine avions nous traversé la salle des pas perdus que la verrière du tri postal s'écroulait derrière nous à grand fracas ; il y avait pasablement de fumée, mais le pire était passé: nous étions fort contents, Pauline et moi, de nous être tirés de ce mauvais pas; empêchés de se rendre jusqu'au train à cause du sinistre, il n'y avait que peu de voyageurs dans le turbotrain, mais ce n'étaient là que les débuts de cette épopée!! 