Vint la rentrée des classes, je n'ai pas souvenance que ce fut un drame, au contraire: Stéphane devenait (presque) un homme; lorsque je rentrais à la maison à l'heure des devoirs, sa mère s'en occupait, mais comme il avait de honteuses facilités, il faisait semblant de ne pas comprendre jusqu'à ce que sa mère lui donne une claque (un claque de mère ne fait pas mal), il retrouvait alors toutes ses capacités intellectuelles.