Nous prîmes l'avion au départ de Bordeaux-Mérignac (à l'époque, il n'y avait pas d'autre liaison), j'avais préalablement rendu la Mercedes car il n'était pas question pour moi de conduire dans Paris, les taxis, le métro feraient aussi bien l'affaire.
S'ensuivirent quelques mésaventures auxquelles Pauline n'était pas sensible, quant à moi, j'étais déçu de voir mon pays natal transformé en piège à touristes.