Après la guerre (de 1.940), les jeunes gens, pour se distinguer des adultes étaient devenus "des zazous", ils maintenaient leurs cheveux à l'aide d'une sorte de cercle d'acier, et le grand succès de l'époque était une chansons dont les paroles étaient: "la télévision, c'est du cinéma, mais que l'on peut voir, en restant chez soi.
Mo, père, qui n'était jamais à court d'imagination chantait: "la télévision, au ténénana", par chance, le ridicule ne tue pas, sans quoi, j'aurais depuis longtemps été orphelin.