A 15h45, le personnel (sauf les infirmières) avait droit à une pause; il fallait entendre ces médisances envers celles qui n'étaient pas là: une honte. Ensuite, une tasse de café, du thé ou un jus de fruits étaient servis à 16 heures aux patients qui avaient le courage de quitter leur chambre (ils étaient peu nombreux).
Malgré qu'il y eut un grand choix de jus de fruits, une patiente exigeait du jus de pêches: on lui servait du jus de pommes sans qu'elle fît la différence.
Les fins de semaine, lorsque le chef du personnel était absent, cette pause se prolongeait pendant environ une heure. (
quand le chat n'est pas là, les souris dansent).