A l'occasion du 14 Juillet, il y eut, le midi, un repas de gala, servi et concocté par le chef en grande tenue; mais l'on ne pavoisa pas, il faut croire que le patriotisme des pensionnaires se situe au niveau de l'estomac, et leur amour de la Patrie au niveau de leurs intestins; l'on ne chanta même pas la Marseillaise. VIVE LA REPUBLIQUE, VIVE LA FRANCE.
Je le signalai par écrit à la direction 