Untel (une telle) est mort (e) sur le coup car il (elle) conduisait en état d'ébriébriéte (en d'autres termes, il (ou elle) avait trop bu).
Ce n'est pas juste: l'on aurait du attendre le lendemain ou même quelques jours plus tard pour lui permettre de se rendre compte de son intempérance. 
Ce n'est pas l'alcool qui tue, mais les ivrognes qui en abusent. 
Bientôt "les fêtes de la Madelaine" à M2M, ivrognerie, désordres, bagarres d'ivrognes, alcoolisation excessive, des blessés, toutes sortes d'exactions, avec, en plus, une odeur épouvantable d'urine et de vomi qui empuantissent les rues.
Les paisibles bourgeois fuient la ville dans ces temps. Il n'est pas dit que je fuierai devant ces voyoux, je ferme ma porte, et, pendant ce temps, je reste chez moi à cultiver mes fleurs. 