|
QUELLE FAMILLE
15/08/2018 07:54
Contreplantés dans les rangs de vigne, il y avait des pêchers, le père de la guenon qu'avait épousé mon frère aîné me montra comment en tailler un, ce fut le seul à ne pas donner de pêches...mais ce n'était que le début de sa fainéantise à cette tache 
QUELLE FAMILLE
13/08/2018 14:38
Il restait passablement de moût dans le cuvier, j'achetait du sucre de vendange pour le compléter, ce qui donna un vin fort acceptable; mon père le baptisa "de la piquette" , ce qui ne l'empêcha pas d'en boire à volonté
QUELLE FAMILLE
13/08/2018 04:27
Des barriques mal lavées, peu soufrées, de rouge, le vin, si cher à mon père, devint bleu...imbuvable, il fallut le jeter: quel désastre!
QUELLE FAMILLE
11/08/2018 05:25
Mon père, dans un élan oeunologique déclara "dorénavant c'est moi qui m'occuperai de la cave (et du vin), il s'agissait de bien caler les barriques sur d'énorme poutres; il le fit si mal que l'une d'elles se renversa et le sol de la cave en profita largement...(à suivre) 
QUELLE FAMILLE
10/08/2018 15:30
L'été, il fallait faire les battages du blé; les voisins s'aidaient les les autres. Dans la cave, il y avait une barrique de vin de garde -Bordelaise 250 litres- qui disparut, mon frère aîné déclara avec aplomb "il fallait bien qu'ils boivent ces gens là", même s'ils avaient été 25, ils auraient bu 10 litres chacun...soiffards; il l'avait vendue pour entretenir sa guenon. 
|