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DRONES
04/03/2015 15:18
Un drone civil ne peut transporter qu'une charge infime, donc, d'après les autorités, il n'y a aucun danger qu'ils soient utilisés par des terroristes pour transporter des explosifs; mais...et s'ils transportaient des microbes, des virus, qui ne pèsent presque rien, pour infecter leurs cibles (il est à noter qu'ils volent au dessus de zones peuplées)? Les Japonais avaient autrefois essayé ce système, mais le vecteur ne convenait pas et l'infection se retournait souvent contre ses utilisateurs: ils abandonnèrent donc ce procédé.
?.?.?.?.?.?.
04/03/2015 11:48
Qui pourrait m'expliquer cette explosion de blogs écrits en (mauvais) Anglais qui encombrent la blogosphère? (et je ne cite pas ce puissant marabout qui vous promet tout -incluant de vous racler vos sous, mais cela, il n'en parle pas-. 
CHÄTIMENTS CORPORELS
03/03/2015 20:00
La France est condamnée pour ne pas interdire la fessée à nos charmantes têtes blondes; par contre, il reste encore les coups de pieds au C.U.L. qui restent disponibles.
Commentaire de Ecoliere (04/03/2015 11:41) :
Il existe fessée et fessée quelques tapes sur les fesses ne tuent pas et
peuvent rendre plus armé à affronter la vie!
Bonjour JC,je suis certaine que vous ne seriez pas contre celle là.

Bisous et belle journée..
http://Ecoliere.vip-blog.com/
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LA TRICHE
02/03/2015 23:27
Le patron en question était un petit peu escroc (beaucoup), l'Administration lui payait ses frais de déplacement pour sa D.S. 19, mais il préférait utiliser une voiturette datant du moyen âge (ou même avant) qui consommait fort peu d'essence; il se faisait quand même payer ses frais de déplacement comme s'il eût utilisé sa D.S.
Contigüe à ses bureaux, il avait une serre magnifique, et le charbon destiné à chauffer les bureaux était utilisé en grande partie pour chauffer la serre en question.
Je précise (j'avais oublié) que nous avions baptisé ce véhicule hors d'âge du nom de "cacugne", personne n'a jamais su pourquoi.
MILANINI
02/03/2015 23:17
J'ai commencé à travailler au bureau d'études des Ponts et Chaussées, j'aimais bien cette activité, bien que le salaire fut misérable. Il y avait pourtant des compensations: il fallut, par exemple, implanter une route consistant en deux courbes tangentes de 1000 mètres chacune; cet ouvrage ne présentait aucune difficulté (ce qui ne signifie pas que nous utilisions un ficelle de 1000 mètres pour en faire le tracé) mais, au bord d'un petit ruisseau qui la bordait, il y avait une centre aéré, dont les animatrices ne manquaient pas de charme, pas du tout.
Nous fîmes durer cette implantation le plus longtemps possible, jusqu'à ce que le patron s'aperçut de notre manège, ce qui suscita, de sa part des reproches virulents. (Peut-être était-il jaloux ou bien cela lui rappelait-il sa jeunesse depuis longtemps passée).
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