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BUGLOSE
22/03/2017 11:04
L'on s'étonne qu'il y ait parfois des drames dans ce genre d'établissements qui reçoivent des vieillards (qui ont souvent perdu la raison); un (très) vieux, seul à sa table, brandissait son couteau d'un air menaçant, personne n'avait jamais pensé à le désarmer: et s'il l'avait planté dans le corps de quelqu'un? 
Commentaire de zortang (23/03/2017 10:05) :
ils ont pas le temps trop de travail pas assez nombreux, juste le temps de
papoter entre eux.
amitié
http://zortang.vip-blog.com/
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BUGLOSE
20/03/2017 14:43
Mon commensal était loin d'être un idiot ou un lâche: il avait "fait" des années de guerre d'algérie, mais il était timide; il avait grand appétit, mais il n'osait jamais demander du "rab" qu'il y avait pourtant en abondance; combien de fois suis-je venu à son secours (bien volontiers), parce qu'une fois leur pâtée distribuée, les bonnes femmes de service, se moquaient pas mal de qui mangeait ou pas: elles jacassaient entre elles. 
Commentaire de zortang (21/03/2017 09:28) :
une fois finit leurs services ? moi c'était pendant le service qu'elles
jacassaient dans leur salle.
une autre époque ces femmes encore en robe et non en jeans
Amitié
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BONNE FIN DE SEMAINE
19/03/2017 08:12
Je souhaite une bonne
fin de semaine à tous mes amis
blogueurs et Internautes 
Commentaire de eternel (19/03/2017 16:23) :
coucou mon petit passage pour te
souhaiter un bon dimanche et une belle semaine, j espere que tu vas bien ,
gros bisous betty.
http://eternel.vip-blog.com/
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BUGLOSE
18/03/2017 16:19
Nous n'étions plus que deux à notre table, à peu près du même âge, les chiatiques, les gâteux étaient morts ou avaient disparu, je ne sais; mais mon pauvre commensal n'avait droit, alors qu'il ne se traînait que sur une patte comme moi, qu'à un déambulateur sans roues qui l'obligeait à sautiller lamentablement.Je poussai un coup de gueule afin que l'on lui attribuât un fauteuil roulant comme à moi-même, mais là, n'étaient que le début de ses déboires. 
BUGLOSE
17/03/2017 09:48
Je me traîne toujours sur mon fauteuil roulant (de peine et de misère); pour accéder à la salle de soins, une porte étroite pratiquée dans un mur épais comme celui d'un château fort: combien de fois me suis-je brisé les doigts en y entrant.
Pour sortir, c'est encore pire: il faut franchir une porte du même genre et l'on se heurte à un autre mur épais qui borde un couloir très étroit. 
Commentaire de laloracorse2 (17/03/2017 10:04) :
bah oui supers nanas, faut tout assumer, rires, disons ce matin, j ai la
flemme, mais vais bouger, bisous à toi
http://laloracorse2.vip-blog.com/
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