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SALAUDS
11/03/2017 16:29
A la fin de son discours, MARINE et ses amis entonnent la MARSEILLAISE, mais les pseudo journalistes de B.F.M. recommencent leur radotages sans respect pour notre hymne National , salauds irrespectueux. 
BUGLOSE
11/03/2017 07:56
A 15h45, le personnel (sauf les infirmières) avait droit à une pause; il fallait entendre ces médisances envers celles qui n'étaient pas là: une honte. Ensuite, une tasse de café, du thé ou un jus de fruits étaient servis à 16 heures aux patients qui avaient le courage de quitter leur chambre (ils étaient peu nombreux).
Malgré qu'il y eut un grand choix de jus de fruits, une patiente exigeait du jus de pêches: on lui servait du jus de pommes sans qu'elle fît la différence.
Les fins de semaine, lorsque le chef du personnel était absent, cette pause se prolongeait pendant environ une heure. ( quand le chat n'est pas là, les souris dansent).
BUGLOSE
10/03/2017 15:57
Un "infirmier remplaçant" vint sévir dans l'établissement; il ne connaissait pas le noms des patients, il lui fallait des heures pour préparer les médicaments (k, chés), mais une aide soignante, qui se faisait passer pour une infirmière, lui donnait le nom des patients, criait à haute voix leur nom.
Une mal blanchie, qui voulait chier plus haut que son cul , qui se croyait importante, alors qu'elle n'était rien lui indiquait le nom des patients qu'il ne comprenait pas.
L'on ne revit jamais, je l'avais surnommé 'dortenchiant". 
BUGLOSE
09/03/2017 04:12
Les élèves (flutistes) de l'école de musique vinrent, un après midi, nous donner un concert: les sièges avaient été disposés comme pour un spectacle, il y avait aussi de la place pour les fauteuils roulants.
Elles jouèrent, accompagnées par leur professeur au synthé. quelques oeuvres classiques, puis, pour terminer, un air entraînant, une rumba; enthousiasmés, moi-même et un ou deux pensionnaires, tapâmes dans nos mains....brièvement, les vioquards s'étaient déjà rendormis. 
Elles eurent droit à du gâteau et du jus de fruit à volonté. 
BUGLOSE
08/03/2017 18:14
Au menu, ce jour là, il y avait du gras double (et des patates), à une table voisine, des vieilles se disputaient, l'une prétendait qu'il s'agissait de tripes, l'autre prétendait qu'il s'agissait de gras double.Pour nous, qui étions au régime, je fis remarquer que nous n'avions droit qu'à du gras simple....ma plaisanterie fit long feu. 
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